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 Pourquoi les religions finissent-elles par être si fermées à tout ce qui n'est pas l'humain?

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Invité
Pourquoi les religions finissent-elles par être si fermées à tout ce qui n'est pas l'humain? - Page 3 Vide
MessageSujet: Re: Pourquoi les religions finissent-elles par être si fermées à tout ce qui n'est pas l'humain?   Pourquoi les religions finissent-elles par être si fermées à tout ce qui n'est pas l'humain? - Page 3 Icon_minitime1Dim 29 Déc 2013 - 17:55

Réponse selon moi: tout simplement parce que les religions sont faites par des humains, non?






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Invité
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Invité
Pourquoi les religions finissent-elles par être si fermées à tout ce qui n'est pas l'humain? - Page 3 Vide
MessageSujet: Re: Pourquoi les religions finissent-elles par être si fermées à tout ce qui n'est pas l'humain?   Pourquoi les religions finissent-elles par être si fermées à tout ce qui n'est pas l'humain? - Page 3 Icon_minitime1Dim 29 Déc 2013 - 18:12

Sur q'elles sot faites par des humains et à leur avantages, mais la vérité c'est

Le mensonge conduit le monde

Qui dira la vérité sur le mensonge ? Cette expression est pleine de force et d’ironie. Mais cette ironie fait réfléchir. Dans son livre « La connaissance inutile », le grand journaliste français athée Jean-François Revel écrit : “Le monde est conduit par le mensonge.” Ce constat n’est pas tiré de la prédication d’un pasteur. C’est l’examen de la situation de notre société fait par un journaliste athée renommé. Le monde est donc conduit par le mensonge : mensonge de la politique, mensonge de la science, mensonge de la presse, mensonge de la justice, etc. Qui dira la vérité sur le mensonge ? Celui qui se risque à vouloir dire la vérité sur le mensonge, risque aussi de se faire insulter de fanatique ou d’intolérant. Le mot “mensonge” fait peur aujourd’hui. On préfère en trouver d’autres pour le remplacer parce qu’il y a quelque chose de choquant dans le mot lui-même. Alors on parle de contre-vérité. Ce terme moderne est moins heurtant puisqu’il contient même le mot vérité, tout en signifiant effectivement “mensonge”. Mais le plus triste est de constater que pratiquement plus personne ne s’intéresse à connaître la vérité sur le mensonge. Comme d’autres péchés, le mensonge est banalisé.
La Parole de Dieu est la vérité

Mais le véritable chrétien, né de nouveau, qui aime Jésus-Christ, doit s’intéresser au mensonge et désirer connaître la vérité sur ce sujet. Pour cela, le chrétien se tourne vers le Christ, vers la Parole de Dieu. Comme disait Simon Pierre : « Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie. Et nous avons cru et nous avons connu que tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. » (Jean 6.68). C’est notre choix, c’est notre foi. C’est à toi Seigneur que nous venons pour écouter ce qu’est la vérité, pour entendre la vérité sur la vérité. Ce sujet n’est pas de la morale mais relève de la doctrine chrétienne. La vérité sur le mensonge est un cours de vie chrétienne. Puisque le chrétien aime Dieu et Jésus-Christ, il veut connaître la vérité sur diverses réalités et notamment sur le mensonge. Le croyant souhaite vivement savoir ce que Dieu dit sur le mensonge. Plus que n’importe quel homme, le chrétien doit aimer la vérité et haïr le mensonge. Le véritable christianisme est l’école de la vérité. Jésus a dit : « Je suis la vérité. » (Jean 14.6) et « Ta Parole est la vérité. » (Jean 17.17). A Pilate, le Christ a dit : « Quiconque est de la vérité, écoute ma voix. » (Jean 18.37).
L’une des premières vérités que Jésus enseigne au sujet du mensonge, est que le mensonge a un père. « Le diable est le père du mensonge. » (Jean 8.44). Cette affirmation ne se trouve dans aucun livre de morale. Le mensonge a donc un père, une origine, une racine, une source. Il vient de quelque part et de quelqu’un. Cette parole du Christ confirme bien qu’il ne s’agit pas d’un cours de morale, mais que l’enseignement au sujet du mensonge relève bien du domaine spirituel. C’est du domaine de l’Esprit. Quand Jésus parle ainsi et prodigue son enseignement sur le mensonge, il s’adresse aux chefs religieux de l’époque. A ceux-ci, le Christ dit : « Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge. ... Vous êtes ses enfants. » (Jean 8.44). A ces pharisiens qui régnaient dans la vie d’Israël, qui méprisaient les pécheurs et voulaient donner des leçons au peuple, à ces chefs qui professaient la Parole de Dieu, Jésus adresse ces paroles particulièrement sévères parce qu’ils avaient piétiné la Parole de la vérité. Ils avaient remplacé cette Parole de Dieu par la parole des hommes, des paroles de mensonge. Ces chefs religieux remplaçaient la vérité de Dieu par le mensonge des hommes. C’est ce que Jésus a dit : « Vous annulez ainsi la Parole de Dieu au profit de votre tradition. » (Matthieu15.6).
Les mensonges de l’Église catholique romaine

Aujourd’hui encore l’Église catholique enseigne des mensonges et garde sa tradition. Face à ce faux enseignement, il y a deux attitudes : ou on se tait, on ne dit mot, ou on réagit. Mais est-ce le rôle de l’Eglise de se taire ? Certains pourraient rétorquer que depuis le 16e siècle, du temps s’est écoulé et que depuis Luther beaucoup de choses se sont passées. Mais n’est-ce pas un signe de faiblesse de ne plus oser dire, de ne plus risquer paraître intolérant. Certains milieux protestants démissionnent et vont jusqu’à coller l’étiquette de « fanatique » sur ceux qui osent encore défendre la vérité et respecter les Paroles du Christ lui-même. Jésus a dit clairement : « Vous annulez la Parole de Dieu par votre tradition que vous avez établie. » Jésus a osé dire aux chefs religieux : « Vous remplacez la vérité par le mensonge. » En d’autres termes cela signifie que le mensonge est promu au rang de dogme, de principe de foi intangible, imposé comme vérité indiscutable. Il ne s’agit pas de dénoncer ces erreurs au nom de la religion protestante, mais bien au nom de la Parole de Dieu et de la vérité divine.
La Parole de Dieu nous permet de faire le tri entre la vérité et le mensonge. Quand on lit par exemple certains écrits de presse catholique, on y découvre : ‘Marie, dès le début de son existence, est sans péché’. C’est un mensonge. En effet la Bible nous parle d’un seul qui est paru sans péché : le Christ, le Fils de Dieu, Dieu le Fils. Ce mensonge accorde ainsi à une créature (Marie), ce qui appartient au Créateur. C’est davantage qu’un mensonge, c’est un blasphème. On vole ce qui appartient à Dieu, ce qui est réservé à Christ, et on le donne à une créature. Ou encore, un autre exemple de mensonge enseigné par l’Église romaine : ‘Jésus a totalement associé Marie à sa victoire sur le mal et sur la mort‘. Jésus n’a en fait associé personne. Il est seul sur la croix, et notre salut est l’œuvre du Père, du Fils et du Saint-Esprit, mais de personne d’autre. Face à de tels mensonges, ou on se tait et on laisse passer, ou on dit quelque chose pour préciser la vérité et dénoncer le mauvais enseignement contraire à la Parole de Dieu. Jésus dit bien : « Vous annulez la parole de Dieu et vous la remplacez par votre tradition que vous vous êtes donnée. » Nous sommes bien en présence d’applications saisissantes qui illustrent cette remarque sévère de Christ. On lit encore parmi cette presse religieuse mensongère : ‘Marie est maintenant avec son Fils auprès de Dieu‘. C’est un mensonge d’associer Marie à la Trinité. Ou encore : ‘Marie est élevée dans la joie du ciel dès l’instant de sa mort, et là elle prie pour nous’. Mais la Parole de Dieu nous parle d’un seul qui intercède pour nous et qui plaide pour nous. C’est notre avocat, Jésus-Christ qui plaide son sang (1 Jean 2.1). Comment dès lors oser dire au nom de Dieu que Marie est au ciel et qu’elle prie pour nous, et même affirmer ‘n’ayons pas peur de la prier’. Mais le seul qui a droit à nos prières, nos intercessions, nos louanges et nos requêtes, c’est Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit. De nouveau c’est un blasphème d’associer Marie à la Trinité. Ou encore d’écrire cette erreur : ‘comme toutes les mamans, elle a façonné le cœur de son fils‘. Cette presse mensongère est distribuée à des milliers d’exemplaires dans notre région et traduit les dogmes et enseignements de l’Église catholique qui a remplacé la vérité de la Parole de Dieu par sa tradition. On relève encore dans ce genre de presse la prière : ‘Maman Marie, je me confie à toi‘. Jésus a dit : « Vous annulez la parole de Dieu au profit de votre tradition, et vous faites beaucoup d’autres choses semblables. » (Marc 7.13).
La Parole de Dieu rend libre

La vérité de la Parole de Dieu doit nous libérer de tous les mensonges. C’est notamment pour cette raison que Jésus a dit : « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira. » (Jean 8.32). La vérité nous rend libre de tous les mensonges des gens religieux. Elle nous aide à faire le tri entre ce qui est vrai (Parole de Dieu) et ce qui est faux (parole d’homme). La vérité de la Parole de Dieu doit nous libérer de tous les mensonges que les hommes profèrent. Les pharisiens avaient pour père le diable parce qu’ils enseignaient des mensonges à la place de la Parole de Dieu. Et dans un sens il n’est pas surprenant que tant de fois dans l’Ancien Testament déjà, Dieu dénonce les mensonges de ceux qui parlent en son nom. Dieu dénonce les mensonges de certains prophètes qui parlent (comme les pharisiens) au nom de Yahvé pour enseigner au peuple des principes contraires à la Parole divine. Le prophète Jérémie affirmait : « Et l’Eternel me dit : c’est le mensonge que prophétisent en mon nom les prophètes. » (Jérémie 14.14). Le prophète poursuit : « Voici, dit l’Eternel, j’en veux aux prophètes qui égarent mon peuple par leurs mensonges. » (Jérémie 23.32). Le prophète Ezéchiel disait : « Vous trompez mon peuple qui écoute le mensonge. » (Ezéchiel 13.19). Le prophète Zacharie écrivait : « Tu dis des mensonges au nom de l’Eternel. » (Zacharie 13.3). Et l’apôtre Paul écrivait : « Ils ont changé la vérité de Dieu en mensonge. » (Romains 1.25). Béni soit Dieu qui nous a donné sa Parole. Cela nous permet de faire le nettoyage dans nos cœurs, non pas au nom d’une religion ou du protestantisme, ou de la doctrine d’une communauté. Mais cette Parole nous permet de faire le tri et d’examiner les Ecritures pour voir si ce qu’on nous dit est exact (Actes 17.11). C’est un privilège de grandir dans la connaissance de la vérité et de posséder la Parole pour être capable de faire le tri et dire : ceci est faux et cela est vrai. C’est une grâce, non seulement pour les sujets théologiques ou doctrinaux mais à propos de toutes les choses de la vie, de pouvoir dire : ceci est la vérité et cela est un mensonge. C’est une bénédiction.
Mais Dieu fait davantage encore par sa Parole que de nous permettre de faire le tri entre la vérité et le mensonge. Il accorde aussi à ses enfants le Saint-Esprit, l’Esprit de vérité. Cet Esprit de vérité nous fait aimer la vérité et haïr le mensonge. C’est en effet une chose de faire la différence entre la vérité et le mensonge, mais il faut encore avoir la force d’aimer la vérité. On peut effectivement la connaître et s’en détourner. Si nous sommes enfants de Dieu, l’Esprit met cet amour dans notre cœur pour aimer les choses vraies. Même si un combat est toujours présent dans notre cœur suite à la séduction du mensonge couché à notre porte (Genèse 4.7), l’Esprit est en nous et nous donne d’aimer la vérité et de haïr ce qui est faux et mensonge.
Enfin le Saint-Esprit nous donne aussi la force de choisir la vérité et de renoncer au mensonge. C’est une nouvelle étape. En fait, connaître la vérité et le faux est une chose. Aimer la vérité et haïr le mensonge est une autre chose. Mais choisir la vérité est encore une autre réalité. A chacune de ces étapes, Dieu intervient par sa Parole et son Esprit-Saint. Dieu conduit ainsi son peuple. Il a choisi de guider son peuple et son Eglise par ces deux moyens : sa Parole de vérité et son Esprit de vérité.
Le véritable chrétien a renoncé au mensonge

Le problème n’est pas seulement le mensonge des autres. C’est aussi notre attitude à chacun vis-à-vis du mensonge. Aujourd’hui le mensonge n’est plus considéré comme une faute grave. Les gens mentent sans être honteux. Cette mentalité de notre société influence aussi l’Eglise et le comportement des chrétiens. On relativise en se disant que le mensonge n’est pas si grave que cela. Cette relativisation a toujours existé et est néfaste pour considérer le sérieux de ce sujet. Pourtant quand Jésus nous dit que le diable est le père du mensonge, cela devrait nous aider à nous ressaisir, pour notre bien et notre bonheur.
Prenons l’exemple de la famille : un mensonge dans le couple et la confiance vole en éclats. Un seul mensonge et les soupçons s’installent. Un mensonge et le doute règne. Un seul mensonge et le diable est là. Il est le père du mensonge. Tout chrétien, enfant de Dieu par la foi, doit être un homme de la vérité. En écrivant aux chrétiens de l’Église d’Ephèse, Paul soulignait : « Renoncez au mensonge, et que chacun de vous parle selon la vérité à son prochain. » (Ephésiens 4.25). Aux chrétiens de l’Église de Colosses, l’apôtre dira : « Ne mentons pas les uns aux autres. » (Colossiens 3.9). Jacques, le frère du Seigneur, souligne : « Ne mentons pas contre la vérité. » (Jacques 3.14). Parfois on rencontre certains chrétiens qui osent dire : “J’ai été obligé de mentir.” Mais on n’est jamais obligé de mentir ! Le Psalmiste disait : « Je hais toute voie de mensonge. » (Psaumes 119.104). Le livre des Proverbes précise que parmi les sept choses que l’Eternel a en horreur, sont la langue menteuse et le faux témoin qui dit des mensonges (Proverbes 6.17). C’est par la foi et par amour pour Dieu qu’un chrétien doit choisir la vérité et renoncer au mensonge. En parlant des armes du chrétien utiles pour lutter contre l’adversaire, l’apôtre Paul dira : « Ayez à vos reins la vérité pour ceinture. » (Ephésiens 6.14). A l’époque il s’agissait d’une large ceinture qui soutenait les reins et la colonne vertébrale pour supporter les coups pendant le combat. De nos jours, qu’est-ce qui va nous tenir debout spirituellement ? C’est la vérité. Elle doit nous tenir droit, debout. L’apôtre Jean était heureux de trouver des chrétiens qui marchaient dans la vérité (2 Jean 4). Il était fort réjoui parce que ce n’est pas si courant de rencontrer des chrétiens qui ne mentent pas. L’apôtre s’écrie : “Eurêka ! J’en ai trouvé.”
Une des composantes de la force d’une église est la vérité, l’amour de la vérité et le renoncement au mensonge. Cela est vrai pour chacun d’entre nous afin que tous les vecteurs de force s’ajoutent dans l’église pour constituer une résultante importante. La force de chacun est utile pour s’additionner aux autres et former ainsi une composante précieuse. La force d’un couple repose sur la vérité. Comment vivre ensemble sans la vérité ? Comment vivre ensemble s’il y a des mensonges ? La vérité est la force d’une famille. La vérité est aussi la force d’une nation. On constate malheureusement le mensonge et les magouilles des gouvernements pour cacher ceci ou dissimuler cela. Il faut savoir que cette pratique de la vérité n’est pas seulement une exigence ou une contrainte. C’est aussi une promesse de bénédiction, de joie et de bonheur. Le Psalmiste disait : « Heureux celui qui ne se tourne pas vers les menteurs. » (Psaumes 40.5). Celui qui ne se tourne pas vers le mensonge est heureux. Le bonheur passe par la vérité et le renoncement au mensonge. Le chrétien qui trafique avec le mensonge ne saurait être béni par le Dieu de vérité. Le chrétien qui se tourne vers le mensonge ne saurait jamais être rempli du Saint-Esprit, de l’Esprit de vérité. Le mensonge est le monde du diable. Ne le laissons pas pénétrer dans nos maisons. Le mensonge n’a pas sa place sur nos lèvres.

http://epecharleroi.be/article.php3?id_article=643






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