Chacun sait que l'on vit par l'esprit, le reste est voué à la mort
C'est la dernière phrase du film "Le retour de Martin Guerre", énoncée par le narrateur lorsqu'il parle de la pendaison du faux Martin Guerre, suivie douze ans plus tard de celle de Jean de Coras, le magistrat qui a présidé son jugement, pendu à son tour, pour ses convictions religieuses (il était protestant).